Embelli de ces milliers de boutons, le lien se tisse du grand-père à la petite fille.
Mes boîtes à boutons sont nombreuses car j’ai eu la chance d’hériter de mon grand-père qui était, comme j’aime à le dire, « marchand ambulant de boutons ».
Il prenait sa voiture remplie de ces merveilles et parcourait les routes de France pour les vendre dans les merceries ou chez les couturières.
Une fois à la retraite, ne pouvant s’en séparer, il a continué à jouer avec.
Moi à ses côtés, les yeux écarquillés, je remplissais mes poches de ces boutons bijoux qui me faisaient rêver.
L’histoire ne s’est pas arrêtée: les boutons étant contagieux, me voici à mon tour à jouer avec. Bien attrapée!
Journées du Matrimoine – les boîtes à boutons d’Anne-Barbara Dell’Unto