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Mes boutons sont désormais rangés dans une ancienne boîte à couture offerte à Strasbourg par une chère amie avant qu’elle retourne vivre définitivement en Grèce.

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Je suis là, dans l’atelier de mon père. Temporairement installée. Ma mère m’a fait ses recommandations. Ne pas toucher aux affaires de mon père.

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Dans ma boîte, il y a plusieurs générations de boutons. De ma grand mère, de ma mère, et les miens.

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Ma boîte à boutons n’est pas purement destinée aux boutons. Ceux-ci sont mélangés avec des objets de couture, bobines de fil, aiguilles, dé à coudre, crochets de rideau, galon, dans un tupperware bleu sans couvercle et sans charme, qui est rangé sur un étagère d’un placard-débarras, à côté d’un fer à repasser et d’un tas de linge froissé.

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Cette boîte à boutons, je l’ai vue toute mon enfance.

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J’ai cherché ma boîte à boutons, et je me suis alors rendu compte qu’elle était ridicule ( le déménagement est passé par là…)Je t’en fais quand même une photo ce soir, mais c’est minable, tu vas voir.

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Oui, j’ai trouvé une boîte à boutons dans le rapatriement de mes affaires de Paris arrivées avant-hier. Mais rien de significatif dans ces boutons-là, je ne sais pourquoi rescapés après mise au rebut de vêtements de prêt-à-porter en bout de vie.

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Une louche de boutons au bric-à-brac il y a 20 ans coûtait 1 €

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Cette boîte en bois (probablement faite maison) appartenait à mon grand-père paternel.

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