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Trésor domestique et objet de lien et de transmission intergénérationnelle, la boîte à boutons est le principe actif des Journées du Matrimoine.
Boîte à boutons, boîte à mémoire
La boîte à boutons de Martine Poidevin
Maman avait 3 boîtes à boutons : une de blancs, l’autre de noirs et l’autre de couleurs.
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La boîte à boutons d’Isabelle Perrot
Cette boîte était à ma mère qui a eu la maladie d’Elzheimer. C’est en fouillant dans ses affaires de couture que je me suis souvenu qu’à une époque son cerveau fontionnait bien et qu’elle rangeait les boutons avec les boutons, les épingles avec les épingles. Trier et classer est à la base de la pensée.
La boîte à boutons de Colette Patru
Lorsque je les regarde, je retrouve des souvenirs… mon souvenir de petite fille.
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La boîte à boutons d’Anne Marié
Que dire de ma boîte à boutons? Un vêtement, on le fait, on le restaure, un bouton tombe, on le remplace. Lorsqu’il manque un bouton à la chemise de mon homme, je ne peux pas le sortir.
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Les boîtes à boutons de Nicole Manière
Toujours à la recherche de petits trésors, je collectionne les boutons, principalement les boutons bijoux.
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Les boîtes à boutons de Marie-Thérèse Jobard
Cette boîte, avec les chevaux de course, appartenait à ma grand-mère. Je l’ai toujours connue chez elle.
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La boîte à boutons de Anne Guenot
Je viens d’une famille de charcutiers et la marque Géo désignait de la charcuterie industrielle en région parisienne.
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La boîte à boutons de Marie-José Gudefin
J’ai toujours vu cette boîte depuis toute petite dans un placard de ma mère.
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La boîte à boutons de Michel Bouvot
Ma boîte à boutons a été donnée à mon épouse par ma mère qui avait récupéré de nombreux boutons.
La boîte à boutons de Marie-Noëlle Bouvot
Ma boîte à boutons m’a été donnée par mon père artisan boucher-charcutier. Elle contenait au départ des épices diverses que mon père utilisait pour fabriquer sa charcuterie.
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Boîte à boutons de Françoise Achard
C’est un souvenir de ma fille qui m’a offert cette boîte achetée à la boutique de Versailles. Sans doute une copie des boîtes utilisées par les camériste de la Reine.
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La boîte à boutons de Sylvie Camusat
Je ne leur demande rien, ni de rejoindre une boutonnière qui les rendrait prisonniers
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Cette boîte à boutons remplie d’histoire appartient à ma grand-mère.
Ma grand-mère était couturière. La plupart de ses boutons sont des vieux boutons non utilisés pour les collections qu’elle confectionnait. Chacun d’eux correspond donc à une pièce de l’époque.
J’ai choisi de présenter l’histoire qui se cache derrière la boîte à boutons de ma grand-mère. Il me semblait évident de parler de cette dernière car, bien que cela reste une babiole pour certains, elle a une valeur sentimentale et unique à mes yeux. Suite à un accident, ma grand-mère fut contrainte de déménager et, au cours de ce déménagement, certaines de ses affaires ont malheureusement été perdues. Je n’étais donc pas sûre qu’elle l’ait encore. mais, à mon plus grand plaisir, cette fameuse boîte avait su retrouver son chemin.
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Ces deux boîtes sont celles de ma mamie maternelle et ma mamie paternelle et sont gorgées de petits trésors de la vie.
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L’histoire de ma boîte à boutons me vient de ma maman. En effet, elle m’a confié sa boîte de jeune fille dans laquelle elle range ses précieux boutons.
Ma boîte à boutons appartient en réalité à ma mère. A l’origine cette boîte à boutons est une boîte de chocolat, de truffes en chocolat plus précisément. Ma mère l’avait achetée à mon école primaire lorsque j’étais en CM1; cette vente avait pour objectif de financer notre voyage à Paris la même année, voyage qui d’ailleurs ne m’avait pas vraiment plu, contrairement aux chocolats que la boîte contenait.
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Originaire d’une famille italienne et polonaise, j’ai toujours été proche de ma famille, et j’ai donc passé beaucoup de temps chez mes grands-parents. Dans tous mes souvenirs d’enfance je revois ce petit meuble, mais j’étais loin de m’imaginer ce qu’il renfermait, ainsi que son histoire. Alors lorsque ma grand-mère m’a dit que notre famille possédait une boîte à boutons depuis plusieurs générations, et que celle-ci avait déjà traversé plusieurs pays d’Europe, j’ai été très surprise. C’est donc l’histoire de la boîte à boutons familiale que je vous raconte aujourd’hui.
Durant le mois de novembre, alors que je faisais quelques achats, je découvris dans un rayon des petites boites à biscuits sur la thématique de Noël. Les trouvant adorables, je me suis arrêtée quelques instants puis repris mes courses.
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Cette modeste boîte a rassemblé, au fil des années, les boutons récupérés sur mes anciens vêtements.
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Cette boîte à boutons appartient à ma mère; quand j’étais petite je la voyais tout le temps sortir cette boîte lorsqu’il fallait réparer un bouton qui avait sauté. Je me rappelle de ce motif de cheval et cet homme avec son grand chapeau rouge. Je la trouvais très jolie mais surtout intrigante.
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L’histoire de cette boîte n’est pas toute récente. Elle appartient à ma mère. C’est une boîte, choisie pour son aspect pratique, elle possède un couvercle.
Elle n’est pas spécialement belle, mais n’était pas destinée à devenir une boite à boutons. C’était à l’origine une simple boîte en plastique qui contenait des lingettes pour bébé.
Elle m’a suivie durant toute mon enfance, je l’ai toujours connue.
Pour un projet, proposé en classe par une enseignante, je voulais trouver « la » boîte à boutons qui aurait du sens. J’ai d’abord cherché dans ma chambre car j’ai des boutons éparpillés un petit peu partout autour de mon bureau, qui est mon principal lieu de création, Il y a aussi des boutons dans certains de mes tiroirs, dans des petits sachets en tissu; mais j’ai finalement choisi une vraie boîte à bouton, celle de mon arrière-grand-mère.
Ce choix m’a paru évident, comme un hommage.
Cette boîte à boutons m´a été offerte par ma grand-mère lorsque j’étais petite.
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Embelli de ces milliers de boutons, le lien se tisse du grand-père à la petite fille.
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Cette boîte à boutons appartient à ma mère, elle l’a depuis une trentaine d’années.
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C’est lors de mes premiers travaux de couture en 1988, l’année de mes 16 ans, que ma petite collection de boutons à vu le jour.
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L’histoire de cette boîte remonte à des années. Elle appartenait à mon grand-père tailleur; il y rangeait son mètre ruban et son petit carnet de commandes.
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La boîte a cigares de dame Renaut
Dame Renaut n’est plus là pour vous raconter cette histoire alors, si vous le voulez bien ,laissez moi le faire pour elle.
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Cette boîte à boutons appartient à Dominique, une amie de ma mère qui travaille en création textile, et plus particulièrement qui est styliste modéliste en création tricot.
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Cette boîte à boutons provient d’une personne qui m’est chère. C’est une amie, une couturière amoureuse de son métier qui ne jette que très peu.
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Cette boîte de boutons a une histoire circulant de générations en générations.
Sous son chapeau orné d’une rose, on y trouve toute sortes de boutons, de toutes tailles et formes.
Ces boîtes à boutons sont celles d’une amie passionnée :
“Des petits trésors” c’est comme ça que je considère mes boîtes à boutons » dit-elle; Ils ont chacun leurs histoires et leurs charmes selon leurs formes et détails dont ils sont constitués.
Cette boîte appartient a ma mère, elle la possède depuis ses 18ans et elle lui est encore, à l’heure d’aujourd’hui, toujours très utile.
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Ma boîte à boutons était au départ une boîte de chocolat, j’ai eu le plaisir de l’avoir pour Noël. C’est d’ailleurs un Père Noël composé de 3 étages; il ressemble à une poupée russe.
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« Incroyable !! Je viens de te retrouver ! Oui je sais tu vas me dire je suis vieille je ne suis plus de ce siècle mais tu sais il y a finalement dans cette boîte tant de souvenirs !!
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L’histoire de cette boîte remonte à l’époque de ma grand-mère qui faisait beaucoup de couture, et qui dans une brocante à Brétignolle-sur-mer est tombée sur cette magnifique boîte en bois qu’elle a décidé de prendre afin de s’en servir comme boîte à boutons.
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La boîte à boutons de ma mère est une boîte de citrate de bétaïne.
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Boîte à boutons collectés chez ma grand-mère couturière puis au fil des rencontres avec ma garde-robe, pour garder la trace de ces vêtements aimés.
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Mes boutons sont désormais rangés dans une ancienne boîte à couture offerte à Strasbourg par une chère amie avant qu’elle retourne vivre définitivement en Grèce.
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Je suis là, dans l’atelier de mon père. Temporairement installée. Ma mère m’a fait ses recommandations. Ne pas toucher aux affaires de mon père.
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Dans ma boîte, il y a plusieurs générations de boutons. De ma grand mère, de ma mère, et les miens.
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Ma boîte à boutons n’est pas purement destinée aux boutons. Ceux-ci sont mélangés avec des objets de couture, bobines de fil, aiguilles, dé à coudre, crochets de rideau, galon, dans un tupperware bleu sans couvercle et sans charme, qui est rangé sur un étagère d’un placard-débarras, à côté d’un fer à repasser et d’un tas de linge froissé.
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Voici notre boîte à boutons hongroise…
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J’ai cherché ma boîte à boutons, et je me suis alors rendu compte qu’elle était ridicule ( le déménagement est passé par là…)Je t’en fais quand même une photo ce soir, mais c’est minable, tu vas voir.
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Oui, j’ai trouvé une boîte à boutons dans le rapatriement de mes affaires de Paris arrivées avant-hier. Mais rien de significatif dans ces boutons-là, je ne sais pourquoi rescapés après mise au rebut de vêtements de prêt-à-porter en bout de vie.
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Une louche de boutons au bric-à-brac il y a 20 ans coûtait 1 €
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Cette boîte en bois (probablement faite maison) appartenait à mon grand-père paternel.
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Cette boîte en fer « Biscuits Brun » date de ma grand-mère, j’ai 76 ans, à vous de voir. Je l’ai toujours vue chez elle puis chez maman et maintenant chez moi.
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Je croyais ne posséder que trois boîtes à boutons.
Finalement, en allant les chercher dans le meuble de la petite lingerie, je me suis aperçue que j’en détenais quatre. Toutes de métal. Toutes récupérées ou offertes au fil des ans.
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Ma boîte à boutons est aussi boîte à couture et fût boîte de bonbons.
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Ma boîte à boutons est comme une boîte à bonbons
aux multiples rondeurs, largeurs et couleurs,
bien qu’avec de potentielles fonctions
de réparation, de fixation, ou même de customization…
Toute petite boîte à l’image de la toute petite couturière maladroite que je suis.
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« Cher Monsieur Bouton, Les voici, les voilà…les boîtes à couture/boutons de mes deux grands-mères, de mes deux lignées, et quelques uns de ma maman, toutes parties au « Paradis des Couturières » où à coup sûr, elles cousent des habits pour les anges, et fabriquent des boutons de nuages.
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En regardant cette photo je pense à ces habits que j’ai portés : la veste qui avait le bouton vert au premier rang, ces gros boutons en plastique blanc, ceux en tissu vichy…
La boîte vient de mon père. Il était formateur pour des futurs électriciens, et il y rangeait du matériel pédagogique. Ma mère avait récupéré une de ses boîtes à couvercle coulissant pour y mettre ses boutons. Quand je suis née, cette boîte faisait déjà partie de la maison. Et comme beaucoup d’entre nous, j’ai énormément joué avec son contenu.
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Je ne retrouve pas la boîte à boutons dont je suis si fier. J’en enverrai une photo aux Journées du Matrimoine dès qu’elle réapparaîtra. En attendant, voici les boutons que je ne cherchais pas… comme d’habitude !
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J’écris pour Jeannette qui n’a pas d’ordinateur. Elle avait beaucoup de boutons, en a donné beaucoup , voici ceux qui lui restent.
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Rien de particulier a priori mais ces boutons m’ont été donnés par une amie au décès de sa grand-mère à qui appartenait la boîte.
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Ma boîte à boutons est en réalité constituée de plusieurs boîtes, elles-même réfugiées dans une autre boîte, à couture, valisette recouverte d’un tissu coloré, qui me suit depuis toujours et qui accueillit jadis mes trésors d’enfant.
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Je me souviens des dimanches chez mamie Germaine. Les hommes étaient à la chasse et les femmes à la maison, avec un bon feu de cheminée et toujours un ouvrage en cours, tricots ou couture .
Chez moi les boutons, d’abord je m’en sers mais c’est surtout quelque chose d’émouvant.
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La boîte à boutons ne vit pas seule, elle cohabite avec ses amies les aiguilles, les fils et tout ce qu’il faut pour sauver les habits orphelins de leurs boutons, déchirés, percés.
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La boîte à boutons de ma mère, couturière, était un de mes jouets – rêves favoris.
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Ma boîte à boutons est une ancienne boîte de chocolat. Ils étaient très bons.
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Dans ma boîte à boutons il y a du tout venant, et il y a les préférés, séparés.
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La boîte rectangulaire est celle dont j’ai hérité de ma mère, la ronde c’est la mienne …
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J’ai retrouvé, garnie de restes de papier peint d’époque, une boîte à cigares qui servait de boîte à boutons à ma mère .
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Bug pour t’envoyer des boutons de mots printaniers …
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L’envol
Dès que j’ai ouvert ces deux boîtes, j’ai eu comme l’impression …
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La ronde des boutons
Bonjour, bonjour petits boutons,
Dit la petite Manon.
« Monsieur Bouton » j’ai retrouvé ma boîte à boutons !
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J’ai ajouté une boîte qui n’est pas une boîte à boutons…
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Mi caja de botones fue algún día una caja de dulces.
Ma boîte à boutons est une boîte à bonbons
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Ce n est pas une boîte, c ‘ est un meuble où chaque tiroir correspond a une couleur.
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Pour ma part je n’ai pas de boîte à boutons.
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J’aimais beaucoup ma grand-mère. Elle était élégante. On disait qu’elle avait travaillé « dans la mode » après la guerre. Ce qui n’était pas rien pour une femme de sa génération.
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Mi caja de botones , que podría usar, es la más grande de las dos…
Ma boîte à boutons, ceux que je peux utiliser, est la plus grande des deux…
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Ma boîte à boutons est une vieille boîte de palets bretons et, comme vous pouvez le constater, les boutons sont encore tous ensachés: il s’agit de ceux que l’on trouve parfois vendus avec les vêtements neufs, au cas où.
La boite à boutons de maman, deux boîtes de thé Lipton qui ressemblaient un peu à des maisons, est passée directement à Noémie, ma fille.
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Ils murmurent Angèle, Antoinette, Antoinette, Blanche, Anna, Ginette, Françoise, Christine, Sylvie, Michèle, trois générations, un vrai trésor pour la mémoire.
Deshacer la casa de tus padres es el siguiente escalón a enterrarlos, un duro trago que se hace con una mezcla de ternura, emoción y tristeza infinita.
Vider la maison de ses parents est l’étape suivant l’enterrement, une épreuve difficile que l’on traverse avec un mélange de tendresse, d’émotion et de tristesse infinie.
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Ces boîtes à boutons sont celles de ma mère qui est maintenant avec mon père dans une tombe de Bas-en-Basset (43 210). Je suis sûr qu’elle aurait participé avec entrain à cette collecte. Pourquoi n’ai-je pas mélangé tous les boutons ? Parce qu’ils ne sont pas arrivés ici en même temps…
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Claro que si!
Tengo un modesto vaso de plástico con algunos pocos botones, casi sin historia…
Bien sûr! J’ai un modeste pot en plastique avec quelques boutons, pratiquement sans histoires..
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Une boîte à chaussures bleue, « La Maison de l’Espadrille ».
Boîte à couture de mes grands-parents. A l’intérieur, un porte-monnaie avec quelques boutons et plein d’autres choses. Dont un fusible. Fusible qui ne peut plus trouver sa place, toute l’électricité a été refaite.
Des boutons, oui ça me parle ! Beaucoup de boîtes à la maison, certaines récupérées d’une tante couturière.
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Des boutons trésor que j’ai regardés de très près depuis mon enfance.
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Ceci est ma petite boîte à boutons personnelle. Il y en a d’autres dans la maison, laissées par celles qui l’ont habitée.
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Lorsqu’en 2002 j’ai fait ma première exposition d’assemblage d’objets, ma mère et venue.
– Je dois en avoir une mais elle n’est pas bien grosse…Tu te souviens que ma famille est originaire de Bouton?
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Je suis en Bretagne avec l’association La Carrière de Fégréac pour préparer un spectacle théâtral. Une des couturières a des boîtes à boutons. Quel genre de photos souhaites-tu ? Voire quel modèle? (elle en a 5 autres)
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AA t’a envoyé quelques photos, ça va ou pas ? On refait ? Moi mon tél est nul côté photo.(…)
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Oui, Michel, j ai une boîte à boutons !
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Le contenu de cette boîte à bouton, enrichi au fil des ans par des achats, des dons ou autres, me vient de mes deux grands mères par l’intermédiaire de ma mère.
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Quinze ans ont passé, et je regarde cette photo avec un certain recul.
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